Prévention primale

  • Prévention primale
  • QUI, POURQUOI
  • Une éclaircie
    • La passion et la fin de l’ignorance
    • Mais des réticences tenaces!
    • Une observation révélatrice
    • Le nouvel éclairage
    • La synthèse
    • Trois types d'exemple
    • Notre tâche
  • La menace globale
    • A quoi joue notre espèce
    • Une thermodynamique du vivant
    • Mais chacun tient la clé !
    • Une économie massive
    • Un carcan culturel
    • Faire sauter ce carcan
  • Ouvrir une voie
    • Aux dédicataires
    • Les données de base
    • questionnement
  • Glossaire
  • bibliographie
  • Contact

English version

À celles et ceux qui

partagent avec leur partenaire le désir et le projet de procréer, sont conscients des contraintes professionnelles auxquelles ils sont soumis et sont décidés à les prendre en compte pour s'organiser afin d'éviter que l'enfant qu'ils vont concevoir n'en souffre indirectement.

À leurs familles et amis, enfin, comme aux citoyens et édiles qui «ne pensent pas qu'une vie puisse se confondre avec un travail» [7], afin que tous puissent contribuer en connaissance de cause à vaincre la résistance opiniâtre de l'establishment à accorder aux futurs parents des congés d'une durée adéquate [121].

Objectifs

- Attirer l'attention sur l'attitude sélective et 'dirigée' des médias dans leur présentation au public de résultats d'observation dans deux disciplines : les sciences fondamentales du vivant et l'épidémiologie sociale.

- Proposer un rapprochement de ces deux disciplines pour ne pas poursuivre dans la mauvaise direction nos efforts en matière de santé publique (double-clic sur: PUBLIC-HEALTH NEW PARADIGMS Wiki ).

- Faire sentir en quoi, au delà de son but immédiat qui est de rompre le cercle vicieux des misères qui ont des effets restrictifs sur les plans affectif, familial et social, la prévention primale devrait contribuer à conjurer une menace globale. Celle que constitue pour notre intégrité somatique et psychique – aussi bien que pour notre environnement – la culture «productiviste-consumériste-croissanciste» [8] dont nous sommes devenus parties prenantes malgré nous. Une culture où conformisme et compétition vont de pair [9], avec des conséquences néfastes largement ignorées, dont celle du stress qu'elle engendre. Même un important centre américain sur le développement de l'enfant (Center on the Developing Child, Harvard University) reste attaché à la préoccupation traditionnelle en santé publique, qui est de réparer des dégâts plutôt que de les prévenir. Par exemple, en s'intéressant en priorité aux familles dont de très jeunes enfants ont déjà besoin d'être aidés, avec l'espoir qu'une fois réparés ceux-ci pourront devenir des "citoyens productifs" [10], il ne répond pas vraiment au besoin premier.
Proudly powered by Weebly